Le phare d’Evian-les-bains est situé au niveau du jardin anglais, à proximité du buste du prince Grégoire Bibesco Bassaraba de Brancovan, père d’Anna de Noailles. Il a été érigé à la moitié du XIX° siècle.
Pour le voir, allez jusqu’au quai Paul Léger, aux thermes. Le phare est de l’autre côté de la route, par rapport à la buvette Prouvé-Novarina, vous savez ce grand bâtiment esseulé qui ne se chauffe pas l’hiver et qui reste fermé du printemps à l’automne, quoique classé par les Monuments historiques.
Le phare n’est pas classé. Sa discrétion ne devrait pas lui retirer ce mérite. En arrivant là, vous pouvez voir un buste, c’est celui de Grégoire Bibesco Bassaraba de Brancovan (1827 Cracovie – 1886 Paris), un héritier princier de Roumanie, père d’Anna de Noailles et président fondateur de la société nautique d’Evian.
Le phare d’Evian ressemble peut-être à un grand lampadaire, mais il a joué son rôle de repère en bord du Léman pendant plusieurs décennies. A ce titre, il mérite le grand nombre de clichés dont il est l’objet. On le voit aussi sur le timbre de 1957, symbole lointain de la ville rendue célèbre pour son hospitalité.
De nos jours, toujours protecteur, des cygnes viennent à son pied y faire leur nid.
- 1904 – Quai baron de Blonay – devant les thermes – palais Lumière et au loin le Phare – les quais sont très proches des bâtiments
- En face le phare d’Evian, et à gauche, le buste de Grégoire Bibesco Bassaraba de Brancovan, père d’Anna de Noailles – carte environ 1900
- Le phare d’Evian (dessin)
- Le phare et le buste de Grégoire Bibesco Bassaraba de Brancovan, père d’Anna de Noailles – carte environ 1900
- La jetée, le phare, le jardin anglais. Là-haut : les Mémises, le pic Boré et la dent d’Oche
- En bout de jetée
- enveloppe 1er jour timbre poste
- Timbre bleu 65 F non oblitéré 1957
- Le phare d’Evian
- Monument du prince Brancovan, et le phare
- Le phare d’Evian
- Le phare d’Evian
- Le phare et départ d’un bateau
- Le phare d’Evian
- Le phare d’Evian